La prose défaillante L’esprit titubant Mes feuilles blanches M’enrhument, me balancent Ma plume se leurre Quand je pleure Ces larmes m’inondent Et forment des ondes Sur cette flaque Qui me rappelle Dulac L’âme en peine Ma plume traîne Ne sachant écrire Elle m’aspire Au fond du gouffre Et je souffre Ma plume n’est plus malade Elle se balade Et voici le sort Je suis mort.