Là où l’esprit fuit l’enveloppe charnelle, Allongés dans ces champs purs de houblons, Un sourire, deux pupilles, un rien sensuels, Viennent aussi s’affranchir d’une saison.
Les anges se poudrent les ailes à tes yeux, Las de tout l’or des clochers de la Hanse. Et moi, devant tous ces messagers de Dieu, J'ai coagulé mes doutes : tu es ma France.