L'arbre! Ornement d'un ciel parsemé de verdure, Au spectacle majestueux de sa stature Compose la mélodie des oiseaux reposants, De ses branches, leurs vols harassants.
L'arbre! Abattu, victime des forestiers sauvages, Au vent, ne berce plus l'imagination d'un sage, Mais! N'est que l'image d'un tronc pourissant, Ou seuls resplendissent les vers luisants.
L'arbre! Ou j'ai découvert les frayeurs de l'enfance. Ou vers un ciel d'avenir à commencée mon errance De branches en branches d'un rêve ininterrompu Restera le mystère de l'ombre, à jamais rompue