La peine chaque jour emplit mon désarroi. Il pleut à gadoue faire infligeant l'avanie À mon cœur. Ô ! Calvaire privé de ta vie... Le temps lui, va son cours immuablement froid.
Les heures dérivant notre siècle d'effroi Vont pendant ce long jour attiser ma folie. Scandant le rythme fou de cette liturgie L'infâme sablier navrera mon beffroi.
L'existence vécue ces pénibles années Ne peut être pourvue de reprises espérées ; On ne peut revenir sûr ce qui est écrit.
Mais mon âme a besoin de penser il me semble, À l'attache... Au sentir qui malgré tout nous lit, Pour être le témoin même sans vivre ensemble.