Épie l'évanescence des mots retrouvés, Car ton calame meurt de ne plus versifier. Retire-toi au calme aède maladroit, Il faudrait que ton âme retrouve l'endroit. Rêverie revient-lui renouvelle ton rai, Et toi brume de nuit sois l'effluve à ton spray.
En retrouvant sa muse et ses mots enchantés, Naîtront je m'en amuse rimes et vers choyés, Seul à son coin si calme où sa tête est au ciel, En redonnant la palme à son existentiel. Misérable rimeur amoureux du Parnasse, Baladin au grand cœur réintégré ta place. Là, tu pourras enfin revenir à ton art, Et nous renaître afin de porter l'étendard.