Auprès de mon arbre Assis sur un banc public Tout en fessant la prière J’ai vu passer l’Auvergnat Dans les sabots d’Hélène Il sifflotait le roi des cons Il vint vers moi Me contant la légende de la nonne Puis, il me tendit le testament De Colombine et partit Après m’avoir offert une jolie fleur Que je donnais à Marinette Qui pour me remercier me fit voir Le nombril des femmes d’agents Ces mêmes agents Qui matraquent les croquants