Lorsque le coeur du poète Jette à l’envie des “ Je t’aime “ Qui, ne trouve que le vide Son âme à jamais meurtrie Erre en des plaines Ignorées du commun des mortels.
Et si laissant saigner son coeur Pour abreuver les plus hautes cimes Il se faisait mystificateur Avec des mots qui, martyrisent ! Avec des mots rageurs !
Mais là ! n’est pas le désir De l’amant versificateur ! Qui, cherche des gestes Qui, cherche des mots D’infinie tendresse.
Et nous rêvons à ces heures exquises, Et nous restons avec nos souvenirs.