Au pied d’un mur, la gerbe fanée Des anciennes amours, va en miasme En l’ozone se répandre . J’aime humer l’idyllique odeur Parfumée de la mort .
Ce sont des vagues amères Qui échouent sur la dune Comme un dernier concert Sous le regard de la lune . Le musicien habile Lance vers le ciel ses arpèges Traçant pour le rêveur les lignes Où vont s’inscrire les vers D’une beauté éphémère, Où va se graver en mémoire Le regard de l’aimer Pour ne jamais l’oublier.
Au pied d’un mur, la gerbe fanée Des anciennes amours, va en miasme En l’ozone se répandre. J’aime humer l’idyllique odeur Parfumée de la mort .