Déployé le compte à rebours La mort mène à l’aube d’un jour A l’orée d’une fin sans atours. Les rimes du pandour, arpègent En costume élimé, aux berges Perdues en d’ancien florilège.
Pour toi, je suis qu’un troubadour Qui passe au son d’un tambour, Bruyant de mots! De mots d’amour. Chaque maux hanté, en manège Fait des tours et se désagrège. Ô marquise, mes nuits, tu allèges
Toutes les torpeurs ancestrales Qui, du fond de mes soirs, exhalent Un parfum maudit où s’empale Un rêve magique, dont la pâle Couleur, ébloui le triomphal Avenir de notre cabale.