Lorsque j’étais enfant, Fier, je mouillais mon doigt Pour tourner les pages De mon livre d’histoire, Et là, horrifié, J’y ai vu combien de morts il y eut. En Ton Nom. Ils exterminèrent des peuples A fin de crée de nouveaux mondes, Puis ils édifièrent ta statut. En Ton Nom. D’autres créèrent des asiles Afin de défendre l’idéologie nouvelle. En Ton Nom. Chaque pays chante tes louanges Et se réclame de toi, mais ! Combien de larmes de sang ? Peut-être trois océans, Il y eut depuis le commencement des temps. En Ton Nom Ton symbole ainsi sans cesse bafoué, En ce monde de folies, Existes-tu encore ? Je pense que oui, Mais je pleure sur, Ton Nom Liberté.