Ô femme qui sourit dans le néant. Tes lèvres sensuelles Ont crée des saisons de pluie Qui donnent à la terre Des vagues d’argent ! De tes paroles muettes Et tes regards absents, J’ai bu l’eau De tes écoles buissonnières, Comme d’alcool S’enivre l’ivrogne qui, Trébuchant sur trop de maux, Se meurt au caniveau Des amours achevés.