Au renouveau du printemps Aux chaleurs des étés Aux tiédeurs des automnes Aux froideurs des hivers Je n’ai pas oublié La présence de l’aimée L’absence de l’aimée.
Et passe le temps Et passe les ans
Mon cœur coloré N’a jamais cessé De rêver A la chimère Aux griffes acérées M’emportant Dans son nid.