“Attendre attendre encor la même voyageuse...” Inlassablement, imperturbablement. Sur les quais déserts. Ah ! L’empoisonneuse ! Attendre, attendre mélancoliquement.
Je t’aime dans les rues sombres des villes Je t’aime toi l’ensorceleuse ! Je t’aime avec ces vers puérils Je t’aime ô ma pétroleuse !!!
Viens dans mes draps, Toi la dormeuse ! Viens dans un duo frénétique Contre mon corps, Ô ma croqueuse !