Enfants qui dormirez en de sombres ténèbres Pour des pardons sincères ! Et hypocrites, Nous vous chanterons les chants funèbres. Excuserez-vous ainsi nos folies ?
A tous ces posthumes remords, Pour les montagnes de rêves achevés, Et l’innocence, outre-tombe jetée, Brisons les amarres vers de nouveaux ports.
Par l’image, des bataillons de larves, Qui viendront, arrogants et repus, Je crache sur elles les larmes, D’un guerrier en haillons, qui pue
L’ordre et le désordre de l’éternité. Enfants ! Enfants qui survivrez A notre siècle veuillez pardonner Les affres de votre destinée.