Tu as gravé ton nom Sur les murs gris des bilans. Quand viennent les sombres soirs, Tu jettes tes larmes Comme un bouquet De regrets sur ta vie inanimée.
Beauté fugitive, En exil sont tes Amours En un coin de ton cœur Obscurci par les déchirements.
Ténébreuse Parisienne de la rue de..... Erre encore pour de nouvelles doléances, Car ce ver, insatiable rongeur, Consommera avec cruauté Les “Je t’aime” que tu croiseras sur le chemin.