Vos
poèmes

Tes fleurs je les ai aimées
Tes fleurs m’ont enivré
Ta vision sur ton monde
N’a aujourd’hui point changé

Depuis ce siècle passé
A dormir en ton tombeau
Les cuves où s’abreuvent
Les cieux, se sont avec orgueil

Remplis de morts sans pudeur
La valse des os, des martyrs
Entonnent un chant de pleurs

Et ce depuis ta fin de vie
Nombreux seront les sanglots
Pour les êtres à venir.