Sur les ruines du temps Sur la muraille des bilans Les larmes et le sang Ont graver les décombres Des saisons et leurs ombres De noir vêtu en un ciel sombre Paradant sur un obscur destrier De l’agonie du monde La camarde s’abreuve sans nombre Des restes d’humanité Comme une obscénité en son tombeau Le miséricordieux implore Méphisto Afin de renaître de ses cendres