Misérable mortel Ne vois-tu rien venir De tous ces maux Qui font frémir ? Ah ! Comme j’aimerais Dans ce siècle bizarre Voir guérir la douleur De ces maladies. Quand ma face aura perdu Toute chevelure Quand le murmure du vent Chantera dans mon crâne. Quand les vers se trimbaleront Dans ce labyrinthe sans fin De mes orbites vides, plus rien ! Plus rien n’existera.