Vos
poèmes

J’eusse aimé que vous m’aimassiez
Pareil à l’amour que je vous portasse
Ô Ma reine, ma beauté éternelle
De moi vous fîtes le plus méprisable

Des hommes que l’amour ait engendré
L’ignominie en l’âme du mortel
Comme une purulente infection
M’envahit malgré votre sincérité

A vouloir calmer ce chagrin immonde
Et cette angoisse au fond du crâne
Qui s’agite sans pudeur, sans raison.
Ma bohémienne, ma gitane je vous aime