Mes deux fils ne seront pas De la chair à canons. Plus d’objection honnie, Ils auront le front haut. Je n’aiment pas les armes Les vraies Celles qui tuent. Hélas ! Sans doute faut-il Pouvoir se protéger Mais ils ne sont pas nés Pour mourir au combat ! Les troubles fomentés Pour augmenter police Gendarmes et soldats Nous mèneraient tout droit A un état de bottes. Quelle alliance objective Entre les deux extrêmes ! Mes fils ont le cœur tendre Et je m’en réjouis !