Les notes glissent l’une sur l’autre Se dandinent Et ondulent dans la chambre. Le jazz envahit ma soirée. J’ignore sur l’écran du salon Le ballon rond de l’euro. Refuge musical Empli de douceur sereine. Mon humeur danse dans mon corps ! Loin des fractions du temps La musique me pénètre Et m’enveloppe Dans la tiédeur du lit. Le bonheur mélodique Triomphe de la sueur violente du sport.
10 juin 2000 Extrait d' "A la lisière du siècle nouveau"