Mon cœur n’ignore rien De ton désir. Tout à côté de toi Je le sens battre la chamade. Les mots sont superflus. Et dans ton au revoir Mes yeux font volte-face Pupilles aimantées consentantes. Mes pas sont aériens. Mon esprit est en fête. Pour me distraire de toi Je pense à ses yeux noirs. Mais l’amour vigilant Dérouté M’étourdit de questions. Mon coeur est un païen triptyque.
29 juillet 2002 15ème recueil, titre non encore défini