C’est d’ici en Périgord que partent dès notre enfance Des désirs de douceur de vivre et de vacances De fermes juchées à flanc de coteau Surplombées de magnifiques châteaux
L’attente tant espérée n’aura trahi en nulle façon Les équipages de filles et de garçons Qui sont enfin parvenus à accoster Les rivages de leurs rêves éveillés
Les cahiers et les livres pleins les bras Les carrières et les soucis à tour de bras Viennent au rendez-vous des bonnes tables de l’agriculture Mais aussi des artistes réputés pour leurs peintures
Au pays du bien vivre s’estompent les cruelles et inutiles é Et ne laissent place qu’à la beauté de la contemplation De la nature variant ses couleurs pourpres, blanches, noires Marquant ainsi originalement une distinction dans sa découve
Subrepticement la truite bondit hors du courant Le printemps s’annonce patiemment Et dans le bleu du ciel de l’Atlantique Le martin-pêcheur prend son vol flegmatique…