Nous aimions cette jolie presqu’île Où nous allions souvent, Sa Côte Sauvage, son port, sa ville Son vent parfois violent.
Cernés et battus par les vagues Noirs fils de l’Océan, Horizons de voyages bleus et vagues Rochers, nous t’aimions tant !
Et quand la promenade à sa Pointe Rires, cheveux au vent, Quand vite les joues blanches se teintent En arrêtent le temps, Nous volions soudainement sans raisons Vers la récréation !
Tant d’années à te parcourir Tant d’années à te découvrir Tant de bonheurs partagés A la plage, tant d’étés…
Quiberon ma douce, Bretagne ma belle Qui êtes-vous sans elle ? J’entends des prières et un cri, puis rien Des vagues, la mer, puis rien.