Parmi les arbres centenaires Dans le doux parfum d'un chaud printemps Je contemple la cité millénaire De Saint Rambert présentement
Je sens que les ans altèrent mon entrain Que le temps fugace me rapproche de la fin Que mille traits blessants d'une averse cruelle Me conduisent lentement à l'orient éternel
Cependant le vent divin ne fouette pas encore Le front dégarni du vieux jouisseur Psalmodiant en geignant le confiteor En savourant son cigare guérisseur