Te voici confondue, retourné dans l’effroi… Renversé en quelques jours, par plus petit que toi. Stoppé dans tes habitudes, il en est ainsi. Questionné dans ta soi-disant suprématie.
Toi qui as oublié ce qu’est la vie, celle qui se déploie sous une multitude d’organismes. Sensés vivre en symbiose, attentive aux métamorphoses, à l’équilibre qui régis tout . Un certain ordre des choses…
Aujourd’hui, dépassée dans ta course folle, mener par le désir de produire et de conquérir . Voici que tu t’affoles, toi qui es devenue le symbole, Des fractures, de l’égoïsme de l’épuisement des ressources et des dérèglements multiples. La nature t’a stoppé ! Tragédie ? Ou opportunité suggérer…
Aurais-tu pris le temps de te poser vraiment ? De regarder en toi, ce qui peut être changé ? De faire cet invent-terre, avec tes Co Loca-terre…
Est-il venu le temps de retourner à la source de la cohérence ? Regarde tes humains, accusant le poids de cette Co-errance. Ne me dis pas, que tu crois à une simple Co Incidences…
Habituée à te préparer à la guerre ,tu te retrouves bien désœuvrée. Envoyant l’armée dans un réflexe guerrier. Est-ce pour combattre un virus ? Ou pour maintenir le contrôle de tes individus.
Confronté à ta peur ancestrale, tu te demandes, qui va s’en sortir ? Financièrement ou humainement ? Poussant le raisonnement à : comment produire sans sortir ?
Si seulement cet événement, pouvait ramener la raison dans nos propres maisons … Vivant, au rythme du vivant. Priorisant le bon sens dans nos institutions.
Ou bien, repartirons-nous demain, fier et heureux de s’en être sortis, enfin … Reprenant nos vies et nos revendications Désireux de changer le monde et son fonctionnement. Sans changer le moins du monde nos comportements ?