Vos
poèmes

Dans le noir de tes yeux,
Ne serait-ce qu’un jeu ?
Et l’onirique de nous deux,
Alimente le feu,
Qui consume les aveux,
Au sombre de nos cieux.

À la tristesse de ces soirs,
Où mes espoirs illusoires,
Et l’amer d’encore croire,
Saignent de ta mémoire

Force moi au grand saut,
Traîne moi à l’échafaud,
Resserre encore l’étau,
Brise mes idéaux

Quand je n’espère rien de toi,
Sache que je n’y crois pas,
Quand les larmes des émois,
Mènent le coeur au trépas.