Que vivent ces voiliers éphémères aux poumons maintenant essoufflés, Que s’ouvrent les malles montgolfières Pleines de vos errances passées,
De l’élégance des danseuses Khmères , Des raffinements des banquets animés Des souvenirs trop longtemps en jachère, Que revivent les désirs d’une vie enviée,
Soyons la ténébreuse passagère Sur le vaisseau des temps abandonnés, Frêle esquif hébergeant de princières Ames que nous osâmes délaisser