D’avoir tricoté le slip bien aéré De ce virtuel amant Beau de derrière comme de devant Je te remercie charmante maman D’avoir crée par une nuit folle d’été Ce gentil garnement Qui fignole la poésie d’éros bien hardiment Je te remercie encore plus maman. Je peux te confier avoir lu de très bon gré, M’arrêtant constamment en lisant, Riant à chaque mot, Les épaules me sautant tant En me disant malgré tout que moi Les devants et les derrières des amants Je les préfère sincèrement sans voile, maman.