L’hippocampe toujours sur ses positions Même après la liposuccion Et l’hallali des fils d’Allah Qui ont campé sans ail au lit, L’halal éliminait les lipides Sous l’oeil livide des Lapithes Tandis qu’un pitre salutiste Lorgnait la barbe d’un salafiste Qui insultait un salsifis Aux tifs vaseliné de salive D’un hippopotame apoplexique Depuis qu’il avala une olive, Le jour où une avalaison Vola tous les toits des maisons, De l’hôpital capitonné Où ballerinait un schizophrène A la recherche de son frangin, Un grand collectionneur de frênes, Siffleur de ballades coquines, Depuis le temps m’a dépassé, Jamais, je ne l’ai retrouvé. Si un jour vous le rencontrez, Appelez-moi, je m’en irai.