Que l’anachorète gibbeux vaticine dans son ultima thulé Tandis qu’un pétrichor casuel flue autour de sa cucule, De la brande issent d’interlopes caméléopards Dans une cymbalisation des horloges de mort, Sont-ce des spadassins culbutant des caméristes Ou le cénobite qui gamberge en machouillant ses psilocybes ? Des chattemites en clochemerle lansquinent dans les vespasiennes, Des soupeurs anoures s’abouchent dans un margouillis de jujube, Une gaupe tavelée pétune en pigeonnant. D'égrillardes contadines astiquent leur fontaine ubérale Et rubéfient le chenu frocard, Des gitons nus en tumescence font des giries Puis, vont courir le guilledou, Des satyres sémillants se débondent, En adeptes gastolatriques de la cinépimastie, Les babilans mesmérisés contemnent Des succubes en ripaille.
Pauvre Antoine, quelle pétaudière caligineuse De vulgivagues ribotes, Tu procrastines tes anathèmes comme un mojo résipiscent, Tu béguettes tes homélies à l’incréé qui s’en tamponne, Tandis que picolent, papelards, Les taraques, les vouivres, les centaures, Les griffons et les faunes Avant un lascif Armageddon.