La nuit s’en vient dans l’oeil du loup Au souffle noir des vents sauvages, Des tourbillons de feuilles mortes Vers le vieux cimetière emportent Ta voix dont l’écho est partout Dans mon coeur où passent les âges,
C'est la magie du souvenir Qui ne veut rien laisser mourir Et ton visage sur l’étang Où danse la lune enivrante Me rappelle un passé troublant Quand dans mes bras, tu fus aimante, Me rappelle ces anciens jours Quand le ciel semait notre amour,
Quand ton visage scintillant Se reflétait dans chaque étoile.