L'eau du puits était claire Lorsque des cendres vinrent troubler Sa bouche fleurie de nénuphars. Alors mon miroir balançant Sur les branches d'un épisodique Chêne sacré s'est détaché Sans pouvoir ouvrir son parachute Pour amortir son vertige Et s'est fracassé dans un abîme De souvenirs visqueux. Alors les murs de ma chambre Se sont lézardés Prenant des poses de pantins grotesques Alors des visages convulsés Ont traversé les âges du foyer Mon horloge n'a pu contrôler l'heure Et je me suis perdu Dans l'infernal dédale des épuisants symboles.