Ile fabuleuse qu’irradie la lumière, Les lauriers en soupir caressent les étoiles, Ondoyante brume que soufflent les fougères, A l'aurore naissante, un amour se dévoile. Mystérieuse sonate, ô doux enchantement, Y aura-t-il une heure où poser ses douleurs, Sourire, soulagé, à un nouveau bonheur ?