En ces endroits misérables et sales, Où je traînais l’âme détruite et rompu de fatigue, Marchant comme une ombre au bord du vide, Je ne veux plus retourner…
Mon esprit blessé dont les plaies sont à peine cicatrisées, A gardé en mémoire la trace De ces nuits affreuses Et d’innommables souffrances,
A présent, il cherche à retrouver la joie de vivre, Comme un navire affolé garde en ligne de mire, La lumière salutaire et blafarde, D’un phare qui éclaire la brume.