C’est un rectangle minuscule dans le toit, Qui découpe une part infime du ciel, Et fait entrer sous les combles la peine ou la joie, Quand tombe la pluie ou coule le soleil comme le miel.
C’est un petit trou vers un espace de liberté, Où mes yeux se perdent en d’insondables rêveries Sages; loin du tracas quotidien et de la veulerie Des hommes; dont je me suis volontairement écarté.
Là, se pose sur les tuiles d’ardoise et la zinguerie, Toute sorte de volatile aux plumages merveilleux, Qui offre parfois des spectacles de volerie,
Quand les plus mignons des moineaux, Se prennent à chasser les insectes, Se transformant pour l’occasion en terrible gerfaut.