Revenir en arrière en quelques légers pas Et ne pas voir ses bras couchés dans l’herbe Pour éviter sa lente agonie le froid trépas De ce bel arbre fruitier dont j’aurai fait un verbe
Revenir dans le temps la seconde la minute Où la foudre mauvaise sur son tronc s’abat Et lui épargner la découpe et la triste chute En invoquant le beau temps lors d’une nuit de Sabbat