La nuit sur moi étend ses ailes, De ses lèvres froides d’un désir absent. Et la fatigue de son poids abrutissant, Clos mes yeux, où les rêves se mêlent!
Alors, la barque d’Oneiros glisse sur la mer des songes, Et m’emmènent en des lieux impossibles Où le temps se suspend en des moments paisibles Faits de douceur et de volupté où je plonge ;
En priant pour rester à jamais prisonnier De ce monde de paix calme et irréel.