Quelles sont belles sauvages et insolentes Où éclosent leurs yeux menteurs et où naissent les sorts Quand elles emprisonnent les naufragés en douces indolentes
Elles semblent pourtant chétives, fragiles et naïves Mais ont la force et la cruauté de leur caractère libre Dans les âmes perdues des hommes à la faiblesse hâtive
En menant les débats comme des harpies victorieuses
Qui ressemblent à des proies résignées dans la pâleur du mat