Ma femme comme je l’aime, Enserrée dans cette robe de dentelle blanche, Qui épouse délicieusement le contour de ses hanches. Dans ses cheveux noirs, déposées en un fin diadème,
Quelques jolies fleurs fraîchement coupées dans le jardin, Éclairent la nuit profonde de sa chevelure, De teintes multicolores et pures, Qui disparaîtront au soir dans l’eau de son bain.
La nuit près d’elle souvent je pleure, En pensant aux temps prochains où elle sera bien vieille. Cependant qu’au matin, je souris de la voir si belle sous le Tandis que le vent porte dans la chambre un frisson qui l’ef
Ma femme comme je l’aime dans cette robe de dentelle blanche