Quelqu'un se presse sur mon cœur Et griffe mon âme de sons lacrymatoires En pleurant des rires vexatoires De la foule au dédain de malheur!
Quelqu'un se presse en mon chœur En frôlant mon esprit libéré ; Des coups, des moqueries et de la méchanceté, Et je lui ouvre mon asile au tapis de fleurs!
Quelqu'un pleure et le vent de l'automne Me porte la mélopée funèbre de sa vie, Et je tends ma main dans la brume monotone,
Pour secourir ce voyageur perdu de l'humanité, Afin de le remettre sur le chemin de l'espoir doré, En l'éloignant des sentiers où se perd sa jeunesse noire!