Septembre et deux cœurs tendres Qui foulent le maquis Avec des papillons dans la tête Et des gentianes dans les mains... Ah c’était au temps de notre jeune vingtaine ! J’entends toujours le chant des vagues Qui frappent les rochers de Bonifacio ou de Propriano. Mais est-ce bien le clapotis de l’océan ? Non mon cher Simon, C'est ta voix aux mil accents de "Ti amo !" et "Sole mio Qui cogne aux huis de mon coeur !
Corsica mon île adorée ! Corsica mon île de Beauté ! Corsica l’île de nos Amours ! Ô mon grand corsaire des mers agitées ! Ô grand capitaine de mon âme éprise ! Ô toi mon grand absent toujours si présent ! Ah si tu savais comme ton nom tambourine sous mon corsage ! Ah si tu savais comme ton visage est gravé sur les plages ! Ah si tu savais comme tu me manques mon éternel fiancé ! Mon cher mari trop tôt envolé... Allez donc savoir où ?