Je me promène tout seul dans un sentier isolé Et personne qui n'éponge Mes peines
Je m’endors tout seul dans une chambre givrée Et personne qui n'épouse Mes rêves
Je m'attable tout seul dans un café mal famé Et personne qui ne s'épanche Sur mes blessures
Je m’énamoure en secret d'une princesse lointaine Et personne qui n'épargne Mes leurres
Ah! Si tu m’offrais quelques arias Un peu de tendresse et un soupçon de plaisir Ah! Si tu m’offrais ta main Tes lèvres et ton cœur Je m’envolerais n’importe où N’importe où