Tes fesses Et je te le confesse Me sont un tel délice Quand mes doigts glissent Sur elles comme une aile D’hirondelle
Tes fesses Ne me laissent Aucun répit ni sursis Quand mes yeux gris Sur elles plongent leur œillade égrillarde
Tes fesses Tentation et invitation à des caresses Toutes en courbes et en vallées Garantes de si folles chevauchées Comment demeurer indifférent Devant pareil spectacle si troublant
Tes fesses Et je te le confesse Me plaisent tant Qu’elles m’obsèdent tout le temps Et c’est pour le plus grand bonheur Qu’elles agréent ton corps d’un tel honneur