Tout était détresse, chagrin et malheur. Puis, tu es apparue toi, l’inaccessible étoile, Toute souriante et si brillante.
J’ai levé les yeux vers toi, Petite boule de silence et puits de mystère. Soudain, tout mon être fut happé Par ton « illuminescence ».
Oui, je sais, je sais, Ce vocable n’existe pas encore dans le dictionnaire, Mais même le mot « illumination » N’explique pas ce trop-plein de lumière Qui se dégage de ton sourire, Toi, mon grand soleil, Toi, ma céleste fiancée, Toi, mon inaccessible étoile !