Pour y déposer Une dernière prière Non pas puisée D’un quelconque bréviaire Mais de ma bouche En roulant ces mots tendres Dans mon vieil accent beauceron… Tu reconnaîtras cette musique Roucoulée tant et tant de fois Sur des airs de rossignol :
« Ma chère Glorieuse, Ma colombe toute belle, Ma tourterelle rieuse, Je t’aimais, Je t’aime encore, Je t’aimerai toujours…
Ma chère Glorieuse ! Viens me visiter en rêve… Viens me bercer dans mon sommeil… Viens fermer mes paupières quand arrivera mon heure… »