Ô Chaman, je pleure et pourtant Les oiseaux de printemps sont déjà là Ô Ami, quand reverrai-je l'Aube D'après la Nuit ?
Je m'accroche et m'étire Je m'allonge et m'écartèle Pour toucher le bras de l'arc-en-ciel Pour braver indicibles délires Pour retrouver enfin mes ailes ...