La Palestine Se calcine Et personne n’entend son cri A fini par disparaître
Dans un navire miraculeux Nos âmes arrivent Jusqu'à ses rives Mais personne n’ose Dresser son fouet Devant la bête à abattre Nos rois Guettent alerte Chacun de nos mouvements On devient libre néanmoins chaque fois Que l’aube se lève On a les larmes aux yeux
La Palestine Crie Le feu qui la calcine Marche et mâche sans fin