Quand l’esprit prend Son élan Le roulis du vent Lui donne la mémoire
Quand la première lueur De l’aube Tombe nue Sur la vitre Elle libère un feu pale
Quand l’écho Trace sa flèche Il rentre Par l’antre De toutes les brèches Lâches Et rassemble les oiseaux Solitaires Et réunit les exiles aux frontières