Ce matin endimanché, je voulais te donner des problèmes, En révélant, en te déclarant ouvertement que je t’aime, Pour te bâcher de faibles remords et de légers regrets, Et enfin, comme un papillon fou, pour perturber ta paix.
En toute vérité, je te vois comme une amante, chère amie, Où le rôle que je joue, c’est d’être un fol amoureux, un mari. Tout est irrégulier, mamour ; puisque je vois le beau paradis. En pensant à toi, très tôt, ce joli matin. La vie est une parodie.
Je sais que les beaux mots ont des succès, des conséquences, Et les mauvais font mal. D’ores et déjà, je suis sans défense. Je me sens comme un albatros déplumé en hiver et sans peau.
Peut-être, tu ricanes un peu en me lisant. Il faut respecter les mots. C’est sérieux. Je ne plaisante pas. Je t’aime avec une forte passion. Tu es superbe dans mes yeux. Désormais, il faut trottiner à l’action.
